L’objectif primaire cette étude est de quantifier le risque relatif encouru par les pauvres lorsqu’ils épargnent dans les secteurs formel, semi-formel et informel. Plus spécifiquement, les questions suivantes ont été posées : 1. Quels sont les systèmes/services d’épargne formels, semi-formels et informels auxquels les pauvres ont recours (s’ils épargnent) ? 2. Quelles ont été les sommes épargnées par les pauvres dans ces divers systèmes au cours de l’année passée ? 3. Combien d’argent ont-ils perdu sur cette même période dans les divers systèmes ?
Graham A.N. Wright et Leonard Mutesasira, 2001
Les pauvres disposent d’un accès limité aux services financiers formels ou semi-formels (c’est d’ailleurs le principe fondateur du secteur de la microfinance). En dehors des IMF, les pauvres disposent donc de très peu d’alternatives de services formels. Si les IMF ne sont pas autorisées à leur proposer des services d’épargne, ils sont contraints de recourir au secteur informel pour épargner.
Il est clair, et désormais généralement admis, que les pauvres veulent et doivent épargner, et qu’ils trouvent de toute façon des moyens de le faire. Il est en outre de plus en plus évident que les pauvres sont confrontés à un environnement extrêmement risqué lorsqu’ils épargnent dans le cadre du secteur informel. Ainsi, lorsque l’on aborde la question du risque inhérent à l’épargne des pauvres, celui-ci doit nécessairement être évalué sur une base relative. Très souvent, tous les systèmes d’épargne disponibles pour les pauvres sont risqués … les pauvres sont donc confrontés à des décisions concernant le risque relatif (ou la sécurité/sûreté relative) des divers systèmes semi-formels et informels auxquels ils ont accès.
Objectif de l’étude :
L’objectif primaire cette étude est de quantifier le risque relatif encouru par les pauvres lorsqu’ils épargnent dans les secteurs formel, semi-formel et informel. Plus spécifiquement, les questions suivantes ont été posées :
1. Quels sont les systèmes/services d’épargne formels, semi-formels et informels auxquels les pauvres ont recours (s’ils épargnent) ?
2. Quelles ont été les sommes épargnées par les pauvres dans ces divers systèmes au cours de l’année passée ?
3. Combien d’argent ont-ils perdu sur cette même période dans les divers systèmes ?
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