Rapport SCBF Mali : Groupes d’entraide : Autonomisation des femmes rurales et accès aux Services Financiers

Les groupes d’épargne font toute la différence dans la vie des femmes rurales au Mali ! Découvrez dans ce rapport commandité par SCBF, comment ces groupes d’épargne jouent un rôle crucial dans leur autonomisation économique, renforçant leur résilience et détermination. Au cœur de cette transformation se trouve l’histoire inspirante de femmes qui, grâce à ces groupes d’épargne, développent des compétences entrepreneuriales, accèdent à des ressources financières, et gagnent en confiance pour prendre des initiatives décisives dans leur vie.

En favorisant l’inclusion financière, ces groupes ne sont pas simplement des épargnants, mais des agents du changement. Explorez les données et découvrez les réussites inspirantes de ces groupes d’épargne dans cette étude complète

Quand l’expérience client s’impose aux institutions financières

« Cette application est un vrai casse-tête. Un service après-vente médiocre avec un chat bot qui ne fonctionne pas, une application qui bugge tout le temps ». C’est en ces termes que Alioune interpelle une  institution financière dont il est client, sur les dysfonctionnements continus de l’application mobile pourtant lancée sur le marché afin de garantir la satisfaction des clients. N’ayant pas obtenu de réponse satisfaisante, il a fini par rendre son mécontentement public sur les réseaux sociaux. Son expérience n’est pas isolée, il s’en est bien rendu compte au regard des centaines de commentaires qu’a généré son post.

Les aléas de la stratégie du « client-centrisme » dans le domaine de l’inclusion financière– 1ère partie : pourquoi la focalisation sur le client est-elle une stratégie axée sur l’offre?

Ces dernières années, la conception centrée sur l’être humain est devenue une nouvelle priorité dans le monde de l’inclusion financière. Elle pousse les prestataires de services financiers à se focaliser sur la conception de produits et de services basée sur la connaissance du client. Les entreprises de design sont devenues une partie intégrante du corps des prestataires techniques qui sont au service des prestataires de services financiers dans le but d’améliorer l’inclusion. Dans le même temps, la définition du prestataire de services financiers s’est élargie pour inclure les opérateurs de réseaux mobiles et les chaînes de détaillants, ainsi que les institutions de microfinance (IMF), les banques, les coopératives et une multitude de fournisseurs de microfinance (MF). Avec les nouveaux venus émergent de nouvelles idées et la répétition des anciennes. Cependant une idée restée constante et pourtant sous-estimée est celle de la focalisation sur le client.

Femmes et FinTechs : Opportunités pour créer un écosystème entrepreneurial plus équitable en Afrique de l’Ouest

La numérisation n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi une nouvelle façon de faire des affaires qui inclut le développement de modèles commerciaux agiles s’adaptant à un environnement changeant.  Les MPME sont l’épine dorsale de l’économie africaine et représentent 90 % de l’ensemble des entreprises.  Rappelons que 60 % des emplois se trouvent dans l’économie informelle, principalement dans les MPME.  Mais les MPME sont confrontées à de réelles contraintes dues à leurs compétences commerciales, à leurs budgets limités et à leur faible culture numérique.  Des recherches récentes ont montré que l’adoption de services financiers mobiles réduit la taille du secteur informel jusqu’à 4,3 points de pourcentage du produit intérieur brut (PIB). Le parcours de transformation numérique des MPME indique que beaucoup d’entre elles en sont encore qu’à leur début, car elles n’ont pas connaissance des outils ou des services qui pourraient leur être utiles.  Dans notre récente étude sur les MPME au Sénégal, malgré le fait que de nombreuses entreprises disposent de comptes d’argent mobile, ces comptes sont principalement utilisés pour des transactions personnelles. Le passage de l’argent liquide au numérique favorise la productivité et la rentabilité en réduisant les coûts opérationnels et en rendant les transactions commerciales moins chères, plus fluides et plus sûres.  La sensibilisation ne suffit pas, car les prestataires de services financiers numériques (SFN) doivent également renforcer leurs capacités par des moyens accessibles et abordables, liés à un soutien financier. Si l’écosystème, les politiques et l’environnement réglementaire étaient appropriés, les microentreprises pourraient bénéficier des mêmes opportunités que les petites et moyennes entreprises pour les aider dans leur parcours de transformation.

FinTechs ivoiriennes et investisseurs : entre souhaits et exigences

La numérisation n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi une nouvelle façon de faire des affaires qui inclut le développement de modèles commerciaux agiles s’adaptant à un environnement changeant.  Les MPME sont l’épine dorsale de l’économie africaine et représentent 90 % de l’ensemble des entreprises.  Rappelons que 60 % des emplois se trouvent dans l’économie informelle, principalement dans les MPME.  Mais les MPME sont confrontées à de réelles contraintes dues à leurs compétences commerciales, à leurs budgets limités et à leur faible culture numérique.  Des recherches récentes ont montré que l’adoption de services financiers mobiles réduit la taille du secteur informel jusqu’à 4,3 points de pourcentage du produit intérieur brut (PIB). Le parcours de transformation numérique des MPME indique que beaucoup d’entre elles en sont encore qu’à leur début, car elles n’ont pas connaissance des outils ou des services qui pourraient leur être utiles.  Dans notre récente étude sur les MPME au Sénégal, malgré le fait que de nombreuses entreprises disposent de comptes d’argent mobile, ces comptes sont principalement utilisés pour des transactions personnelles. Le passage de l’argent liquide au numérique favorise la productivité et la rentabilité en réduisant les coûts opérationnels et en rendant les transactions commerciales moins chères, plus fluides et plus sûres.  La sensibilisation ne suffit pas, car les prestataires de services financiers numériques (SFN) doivent également renforcer leurs capacités par des moyens accessibles et abordables, liés à un soutien financier. Si l’écosystème, les politiques et l’environnement réglementaire étaient appropriés, les microentreprises pourraient bénéficier des mêmes opportunités que les petites et moyennes entreprises pour les aider dans leur parcours de transformation.

Les MPME sénégalaises face à la crise de la Covid-19

La numérisation n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi une nouvelle façon de faire des affaires qui inclut le développement de modèles commerciaux agiles s’adaptant à un environnement changeant.  Les MPME sont l’épine dorsale de l’économie africaine et représentent 90 % de l’ensemble des entreprises.  Rappelons que 60 % des emplois se trouvent dans l’économie informelle, principalement dans les MPME.  Mais les MPME sont confrontées à de réelles contraintes dues à leurs compétences commerciales, à leurs budgets limités et à leur faible culture numérique.  Des recherches récentes ont montré que l’adoption de services financiers mobiles réduit la taille du secteur informel jusqu’à 4,3 points de pourcentage du produit intérieur brut (PIB). Le parcours de transformation numérique des MPME indique que beaucoup d’entre elles en sont encore qu’à leur début, car elles n’ont pas connaissance des outils ou des services qui pourraient leur être utiles.  Dans notre récente étude sur les MPME au Sénégal, malgré le fait que de nombreuses entreprises disposent de comptes d’argent mobile, ces comptes sont principalement utilisés pour des transactions personnelles. Le passage de l’argent liquide au numérique favorise la productivité et la rentabilité en réduisant les coûts opérationnels et en rendant les transactions commerciales moins chères, plus fluides et plus sûres.  La sensibilisation ne suffit pas, car les prestataires de services financiers numériques (SFN) doivent également renforcer leurs capacités par des moyens accessibles et abordables, liés à un soutien financier. Si l’écosystème, les politiques et l’environnement réglementaire étaient appropriés, les microentreprises pourraient bénéficier des mêmes opportunités que les petites et moyennes entreprises pour les aider dans leur parcours de transformation.

Impact de la pandémie de la Covid-19 sur les micro, petites et moyennes entreprises (MPME) au Sénégal

Ce rapport sur l’impact de la Covid-19 sur les agents CICO au Sénégal, fait le point au niveau national des répercussions de la Covid-19 sur les réseaux d’agents, présente leurs stratégies d’adaptation et formule des recommandations destinées aux responsables politiques et aux prestataires de services financiers pour leur venir en aide. Nous remercions la Fondation Mastercard pour son soutien financier

Ouvrir des opportunités de croissance pour les MPME dans un monde post-COVID

La numérisation n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi une nouvelle façon de faire des affaires qui inclut le développement de modèles commerciaux agiles s’adaptant à un environnement changeant.  Les MPME sont l’épine dorsale de l’économie africaine et représentent 90 % de l’ensemble des entreprises.  Rappelons que 60 % des emplois se trouvent dans l’économie informelle, principalement dans les MPME.  Mais les MPME sont confrontées à de réelles contraintes dues à leurs compétences commerciales, à leurs budgets limités et à leur faible culture numérique.  Des recherches récentes ont montré que l’adoption de services financiers mobiles réduit la taille du secteur informel jusqu’à 4,3 points de pourcentage du produit intérieur brut (PIB). Le parcours de transformation numérique des MPME indique que beaucoup d’entre elles en sont encore qu’à leur début, car elles n’ont pas connaissance des outils ou des services qui pourraient leur être utiles.  Dans notre récente étude sur les MPME au Sénégal, malgré le fait que de nombreuses entreprises disposent de comptes d’argent mobile, ces comptes sont principalement utilisés pour des transactions personnelles. Le passage de l’argent liquide au numérique favorise la productivité et la rentabilité en réduisant les coûts opérationnels et en rendant les transactions commerciales moins chères, plus fluides et plus sûres.  La sensibilisation ne suffit pas, car les prestataires de services financiers numériques (SFN) doivent également renforcer leurs capacités par des moyens accessibles et abordables, liés à un soutien financier. Si l’écosystème, les politiques et l’environnement réglementaire étaient appropriés, les microentreprises pourraient bénéficier des mêmes opportunités que les petites et moyennes entreprises pour les aider dans leur parcours de transformation.